Ciguë vireuse
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Nom de la plante
Ciguë vireuse
Dénomination latine internationale
Famille botanique
Apiaceae
Description et habitat
- Plante entière : herbacée, vivace, glabre et ramifiée, mesure au maximum 1,2m
- Feuilles : bi- ou tripennées, à pétiole creux, aux folioles lancéolés et bordés de dents de scie (feuilles non découpées)
- Inflorescence : fleurs blanches ou roses en ombelles de 10 à 20 rayons, sans bractées mais à bractéoles linéaires ; florainson en juillet-août
- Appareil souterrain : une grosse racine évidée et cloisonnée qui laisse exsuder un suc blanc-jaunâtre d'odeur très désagréable ; elle disparaît après la germination et est remplacée par des racines fusiformes ou en forme de tubercule
- Fruits : petits, arrondis et courts, ils sont pourvus de 5 dents au sommet
Histoire et tradition
Parties utilisées
- Racine
Formes galéniques disponibles
- Teinture-mère de racine
Dosages usuels
Composition
Composants principaux de la plante
Composants principaux des bourgeons ou jeunes pousses
Composants principaux de l'huile essentielle
Propriétés
Propriétés de la plante
- Redoutablement toxique
Propriétés du bourgeon
Propriétés de l'huile essentielle
Indications
Indications de la plante entière (phytothérapie)
- En homéopathie : indiquée dans la tétanie avec ses spasmes en flexion, le hoquet répété, les spasmes des paupières et des globes oculaires (spasmes oculogyres), les manifestations hystériformes, les manifestations épileptiformes de la femme pendant les règles
Indications du bourgeon (gemmothérapie)
Indications spécifiques de l'huile essentielle (aromathérapie)
Mode d'action connu ou présumé
Formulations usuelles
Réglementation
Effets indésirables éventuels et précautions d'emploi
- redoutablement toxique
Références bibliographiques
- Guermonprez, Pinkas, Torck. Matière médicale homéopathique. Ed. Doin. Paris. 1985, réédition Boiron. 1997.